destination… dégustez !

Chez de nombreuses personnes, l’état émotionnel affecte également de manière significative leur appétit.

La suralimentation émotionnelle se caractérise par un désir incontrôlable de la personne de consommer de la nourriture alors qu'elle se trouve dans un mauvais état psychologique tel que stresser, colère, anxiété, solitude, tristesse et ennui.

Le processus de consommation de nourriture devient désormais un moyen d'échapper ou de se distraire du problème qui préoccupe la personne.

Le comportement de suralimentation, qui peut être conscient ou non, est l'un des plus courants troubles de l'alimentation.

L’alimentation excessive observée en cas de suralimentation émotionnelle entraîne une prise de poids et l’obésité.

Le problème devient encore plus difficile si l'on considère que dans ce trouble de l'alimentation, il devient consommation alimentaire sélective, généralement riche en calories (par exemple les sucreries, les aliments gras et les aliments salés).

De plus, il semble que certains aliments aient propriétés addictives.

En particulier, le chocolat est susceptible de libérer de très petites quantités de substances, telles que des opioïdes, dans l’organisme. Ces substances provoquent plaisir et amélioration temporaires le mauvais état psychologique de la personne.

Même un soulagement temporaire des mauvais sentiments dus à la consommation d'aliments, particulièrement riches en calories, conduit la personne à une suralimentation émotionnelle.

Cependant, le soulagement est temporaire, car après avoir mangé, l'intérêt de la personne revient à ses problèmes.

En revanche, on observe souvent prise de poids excessive jusqu'au degré d'obésité, qui vient avec de nouveaux et mauvais sentiments psychologiques dus à de mauvais l'image corporelle.

En cas de crise de boulimie émotionnelle, il est possible de prendre des mesures efficaces pour contrôler le comportement alimentaire. Les gens sont importants apprenez à distinguer la vraie faim du besoin émotionnel.

Reconnaître les circonstances dans lesquelles ils commencent à manger rapidement et de manière excessive peut leur permettre de développer des résistances contre la suralimentation émotionnelle. Cela aiderait à enregistrer pendant quelques jours quand, quoi et combien ils mangent.

Dans le même temps, enregistrer leurs sentiments lorsqu’ils consomment des produits comestibles leur permettra de reconnaître les situations qui les poussent à trop manger.

C'est aussi bon limiter le stockage ou l'achat d'aliments sucrés, gras et salés, que l'on a tendance à consommer, dans les moments de suralimentation émotionnelle.

De plus, lorsqu’il existe une envie incontrôlable de consommer quelque chose, il est préférable de choisir des aliments faibles en calories et en matières grasses.

Les grains entiers, les fruits ou légumes frais, les petits repas fréquents, les aliments riches en protéines, les produits laitiers faibles en gras contribuent à lutter contre la suralimentation émotionnelle.

Enfin, le relaxation, ο bon sommeil et exercice physique régulier ils aident le corps à être en meilleure condition physique et le protègent des tensions psychologiques, éliminant ainsi le risque de suralimentation émotionnelle.

Eléni Solomou

Eleni Solomou, Diététicienne Clinique - Nutritionniste, BSc Directrice de l'Unité de Diététique LOGO DIATROFI, Lixouri - Céphalonie Membre fondateur de la Société Hellénique de Nutrition [email protected] Courriel :  [email protected]

Source : logodiatrofis.gr

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